2020-12-20,21:00
Prenons un exemple amusant : quand Max nous indique « Là, le phare romain », faut-il comprendre la tour (cantabrique) d’Hercule, ou bien la tour de l’Ordre ? ou autre chose ? ou rien ?
Ce petit exemple simple montre que dans la chasse il y a souvent (au moins) deux lectures par énigmes, et donc deux bonnes solutions possibles.
Hormis la B.
On peut aussi penser qu’il y a une à deux fausses pistes voulues par Max.
Supposons que nous en inventions une ou deux autres supplémentaires, non voulues par l’auteur.
Cela donnerait 2 à 4 fausses pistes en moyenne par énigme + les deux vraies pistes = 4 à 6 chemins par énigmes. Mais un seul à suivre au bon moment.
Alors comptons pour les 10 énigmes. Soyons raisonnable et disons 4 chemins pour la première, que multiplie 4 chemins pour la deuxième : on est déjà à 16 chemins. Fois 4 pour la troisième = 64 possibilités. On arrive ainsi à plus de 250 chemins dès la 4e énigme, plus de 1000 chemins à la 5e, etc.
Si on va ainsi jusqu’à la dernière énigme alors on trouve plus d’un million de chemins !
Bon, on a peut-être un peu exagéré. Mais même en prenant 2 fausses pistes seulement et une seule solution par énigme cela ferait quand même plusieurs centaines de chemins à mi-parcours et plus de cinquante mille chemins en fin de chasse.
Alors on comprend qu’il y ait tant de solutions différentes proposées. Et puis le temps de comprendre l’erreur, de revenir en arrière, et jusqu’où ?
Des voies étroites, certes, mais par milliers…
Bref, celui (ou celle) qui trouvera sera soit un(e) génie, soit il (ou elle) aura beaucoup de chances !
Allez ! soyons optimistes ! il parait qu’en tapant au hasard sur un clavier on finit forcément par réécrire Shakespeare, la Bible, le Coran, ou votre roman préféré. Alors la chasse à côté, pffff !
Mais il parait aussi que ça prend un temps infini… Mince !
Ce petit exemple simple montre que dans la chasse il y a souvent (au moins) deux lectures par énigmes, et donc deux bonnes solutions possibles.
Hormis la B.
On peut aussi penser qu’il y a une à deux fausses pistes voulues par Max.
Supposons que nous en inventions une ou deux autres supplémentaires, non voulues par l’auteur.
Cela donnerait 2 à 4 fausses pistes en moyenne par énigme + les deux vraies pistes = 4 à 6 chemins par énigmes. Mais un seul à suivre au bon moment.
Alors comptons pour les 10 énigmes. Soyons raisonnable et disons 4 chemins pour la première, que multiplie 4 chemins pour la deuxième : on est déjà à 16 chemins. Fois 4 pour la troisième = 64 possibilités. On arrive ainsi à plus de 250 chemins dès la 4e énigme, plus de 1000 chemins à la 5e, etc.
Si on va ainsi jusqu’à la dernière énigme alors on trouve plus d’un million de chemins !
Bon, on a peut-être un peu exagéré. Mais même en prenant 2 fausses pistes seulement et une seule solution par énigme cela ferait quand même plusieurs centaines de chemins à mi-parcours et plus de cinquante mille chemins en fin de chasse.
Alors on comprend qu’il y ait tant de solutions différentes proposées. Et puis le temps de comprendre l’erreur, de revenir en arrière, et jusqu’où ?
Des voies étroites, certes, mais par milliers…
Bref, celui (ou celle) qui trouvera sera soit un(e) génie, soit il (ou elle) aura beaucoup de chances !
Allez ! soyons optimistes ! il parait qu’en tapant au hasard sur un clavier on finit forcément par réécrire Shakespeare, la Bible, le Coran, ou votre roman préféré. Alors la chasse à côté, pffff !
Mais il parait aussi que ça prend un temps infini… Mince !