La portée peut simplement être là pour qu'on sache ce qu'est UT QUEANT LAXIS.
Perso je suis peut-être inculte mais je ne savais pas de quoi il s'agissait. Donc sans mon ami google, comment partir sur la musique? UT QUEANT LAXIS ne se trouve pas comme par magie dans un dictionnaire. En voyant une portée, on fait des recherches sur la musique et en demandant à n'importe quel prof de musique on fini par trouver le lien.
Cela implique donc que cet hymne est important. Il est à l'origine de la création des notes. Encore une "première". Nous avons déjà rencontré la première définition du mètre (en 780 pour ceux qui suivent comme moi la mesure planétaire), nous avons maintenant la première utilisation des notes. Ensuite nous allons rencontrer la première utilisation de l'écriture latine et la première utilisation des chiffres dits arabes.
Puis ensuite, la première photographie.
De plus, Jacques Viret et Jacques Chailley ont découvert en 1981 que le poème de Paul Diacre, indépendamment de la mélodie, constituait un cryptogramme dans lequel les syllabes retenues plus tard pour les notes de la gamme (et aussi celles non utilisées par Gui d'Arezzo) présentaient un sens caché cohérent. Au centre, la syllabe SOL, qui en latin signifie « soleil » et en reproduit l'image par le graphisme de sa lettre centrale O. Cette lettre O est la transcription latine de la lettre grecque oméga, dernière lettre de l'alphabet ; jointe à la première lettre alpha (que le Moyen Âge orthographie couramment alfa), elle contient la définition que Dieu se donne à lui-même dans l'Apocalypse : « Je suis l'alpha et l'oméga. » Dans l'hymne, SOL est encadré par les deux syllabes FA et LA, qui, lues en convergence vers l'oméga du SOL, forment précisément le mot ALFA.
La syllabe précédente MI réunit les deux lettres M et I qui, dans la numérotation alphabétique latine, représentent le plus grand nombre transcriptible (M, mille) et le plus petit (I, un) ; elle est donc une image du macrocosme et du microcosme, représentation de l'univers.
Les deux syllables initiales du dernier vers, SANcte IOhannes, réunies et lues comme ALFA mais en sens inverse, forment le mot IONAS, nom du prophète qui sortit vivant après trois jours du ventre d'une baleine, et pour ce fait fut considéré comme la préfiguration de la résurrection du Christ, image elle-même de la renaissance printanière après le sommeil de l'hiver.
Si enfin on réunit à SOL et à IO les syllabes UT et RE, on obtient, dans un autre ordre, le mot alchimique RESOLUTIO, qui désigne le mystère fondamental de la nature, à savoir la dissolution des éléments dans la mort pour leur reconstitution ultérieure dans un autre ordre pour une nouvelle vie (mort/résurrection, cycle des saisons, etc.). Le groupe RESOLUTIO/ALFA-OMÉGA peut être représenté par une croix latine régulière :
vv RE
LA SOL FA
vv UT
vv IO
Franchement moi je trouverai dommage que ça n'ait pas de rapport avec la chasse. Une méthode de décryptage cachée?
Perso je suis peut-être inculte mais je ne savais pas de quoi il s'agissait. Donc sans mon ami google, comment partir sur la musique? UT QUEANT LAXIS ne se trouve pas comme par magie dans un dictionnaire. En voyant une portée, on fait des recherches sur la musique et en demandant à n'importe quel prof de musique on fini par trouver le lien.
Cela implique donc que cet hymne est important. Il est à l'origine de la création des notes. Encore une "première". Nous avons déjà rencontré la première définition du mètre (en 780 pour ceux qui suivent comme moi la mesure planétaire), nous avons maintenant la première utilisation des notes. Ensuite nous allons rencontrer la première utilisation de l'écriture latine et la première utilisation des chiffres dits arabes.
Puis ensuite, la première photographie.

De plus, Jacques Viret et Jacques Chailley ont découvert en 1981 que le poème de Paul Diacre, indépendamment de la mélodie, constituait un cryptogramme dans lequel les syllabes retenues plus tard pour les notes de la gamme (et aussi celles non utilisées par Gui d'Arezzo) présentaient un sens caché cohérent. Au centre, la syllabe SOL, qui en latin signifie « soleil » et en reproduit l'image par le graphisme de sa lettre centrale O. Cette lettre O est la transcription latine de la lettre grecque oméga, dernière lettre de l'alphabet ; jointe à la première lettre alpha (que le Moyen Âge orthographie couramment alfa), elle contient la définition que Dieu se donne à lui-même dans l'Apocalypse : « Je suis l'alpha et l'oméga. » Dans l'hymne, SOL est encadré par les deux syllabes FA et LA, qui, lues en convergence vers l'oméga du SOL, forment précisément le mot ALFA.
La syllabe précédente MI réunit les deux lettres M et I qui, dans la numérotation alphabétique latine, représentent le plus grand nombre transcriptible (M, mille) et le plus petit (I, un) ; elle est donc une image du macrocosme et du microcosme, représentation de l'univers.
Les deux syllables initiales du dernier vers, SANcte IOhannes, réunies et lues comme ALFA mais en sens inverse, forment le mot IONAS, nom du prophète qui sortit vivant après trois jours du ventre d'une baleine, et pour ce fait fut considéré comme la préfiguration de la résurrection du Christ, image elle-même de la renaissance printanière après le sommeil de l'hiver.
Si enfin on réunit à SOL et à IO les syllabes UT et RE, on obtient, dans un autre ordre, le mot alchimique RESOLUTIO, qui désigne le mystère fondamental de la nature, à savoir la dissolution des éléments dans la mort pour leur reconstitution ultérieure dans un autre ordre pour une nouvelle vie (mort/résurrection, cycle des saisons, etc.). Le groupe RESOLUTIO/ALFA-OMÉGA peut être représenté par une croix latine régulière :
vv RE
LA SOL FA
vv UT
vv IO
Franchement moi je trouverai dommage que ça n'ait pas de rapport avec la chasse. Une méthode de décryptage cachée?