2020-08-18,21:00
Ce que je peux dire d’après mes solutions jusqu’aux sentinelles, c’est que la carte est une espèce de « canevas » : on peut dire qu’elle se borne à donner la localisation d’un certain nombre d’éléments tangibles, qui sont de nature variée (il n’y a pas que les communes). À partir de ces repères, on peut tracer des traits, soit entre des points de la carte déjà identifiés, soit à partir d’un point déjà identifié et en jaugeant la direction (par exemple en 420 et en 560, et il est clair qu’il y a alors des éléments tangibles à trouver sur la carte, mais qui répondent à une logique dictée par l’énigme) ; la longueur de ces traits est toujours déterminée par quelque chose qui n’est pas donné par la carte elle-même : soit on connait le lieu d’arrivée, soit on connait la longueur du trait parce qu’on la décrypte (directement ou bien en trouvant un stratagème qui la donnera), soit <autre possibilité pas très difficile à deviner mais que je ne donnerai pas quand même>. Il est possible que ce soit également ce dernier aspect (en plus du fait qu’il faut ignorer tout ce qui n’est pas tangible, comme les départements) qui lui faisait dire que la carte n’était pas un outil (je crois me souvenir d’un madit disant que le crayon ne s’arrêtait pas magiquement lorsqu’on traçait le TANPR, par exemple).